Dans la tête de… Biagui Kamissoko
À nouvelle année, nouvelle chronique. Chaque semaine, un joueur du Grenoble Foot 38 se livrera pour Métro-Sports à un petit entretien d’une quinzaine de questions personnelles, toujours sur le ton de l’humour et du manque de sérieux. Cette semaine, C’est au tour de Biagui Kamissoko de passer sur le billard de notre petit questionnaire. Et pour cause, le milieu de terrain grenoblois s’est fait chambrer par Marius M’Baïam dans la dernière rubrique. Réponse attendue.
-Pourquoi footballeur ? : « Parce que j’ai adoré ça. C’est une passion qui m’a pris depuis mon enfance. J’ai vu des gens jouer au football, j’y ai participé et je n’ai plus jamais lâché. »
-Pourquoi à ce poste ? : « Quand on commence le football on n’a pas vraiment de poste, après j’ai voulu marquer des buts comme tout le monde, j’ai un peu joué à tous les postes sauf gardien ! Après je me suis fixé entre défenseur et milieu de terrain parce que c’est ce que je maîtrisais le plus. »
-Ce que tu maîtrises le plus : « La vision du jeu, je pense avoir une bonne vision de jeu. »
-Ce que tu maîtrises le moins : « Éliminer un adversaire en un contre un. »
-Le plus beau geste technique : « La feinte de frappe, même si Marius en abuse trop (défi relevé, NDLR). »
-La meilleure manière de fêter un but : « En faisant l’avion devant les supporters. »
-Plutôt Nike ou Adidas en chaussures ? : « Les deux. Plus Nike quand même. »
-Pile à l’heure ou toujours en retard ? : « Je suis pile à l’heure ! Pas en avance, pas en retard ! »
-Plutôt leader ou discret ? : « Sur le terrain je suis plus leader et dans les vestiaires je suis plus discret. »
-Ta plus grosse qualité : « La patience. »
-Ton plus gros défaut : « Je suis assez têtu en fait. »
-Après le foot tu vas faire quoi ? : « J’aimerais rester dans le milieu du football, j’aimerais bien être dans la formation des jeunes. »
-La presse pour toi c’est… ? : « Je prend ça avec un peu de recul. C’est le lien entre les sportifs et les gens qui sont autour. »
-Sincèrement, c’était la meilleure interview de ta vie là ? : « Je ne sais pas, j’espère qu’il y en aura d’autres ! »
-Quand on dira « Biagui Kamissoko » dans 20 ans, tu préférerais qu’on dise surtout : « c’était un sacré footballeur » ou « c’était vraiment un type bien » ? : « Un mec bien, c’est plus important. »