Dans la tête de… Fabien Tissot-Rosset

Dans la tête de… Fabien Tissot-Rosset

tissotÀ nouvelle année, nouvelle chronique. Chaque semaine, un joueur du Grenoble Foot 38 se livrera pour Métro-Sports à un petit entretien d’un quinzaine de questions personnelles, toujours sur le ton de l’humour et du manque de sérieux. Place à Fabien Tissot-Rosset, le « polyvalent » du GF38.  

-Pourquoi footballeur ? : « Bonne question ! Je jouais toujours dans mon quartier avec les plus grands quand j’étais tout petit. J’ai commencé à 3 ans et demi, 4 ans, en club, je ne faisais que les entrainements je n’avais même pas le droit de jouer les matchs. C’est surtout de le fait de jouer à Chambéry qui m’a permis de rejoindre le GF38. » 

-Pourquoi à ce poste ? :
« Quel poste ?! Les tâches défensives ne me gênent pas, c’est délicat. Que ce soit dans l’axe ou dans le couloir ça ne me dérange pas. On va dire les postes défensifs, surtout parce que j’ai moins de talent que certains offensivement ! »

-Ce que tu maîtrises le plus :
« Les accrochages ! »

-Ce que tu maîtrises le moins :
« Devant le but. »

-Le plus beau geste technique :
« Les gestes techniques en général, un beau dribble. »

-La meilleure manière de fêter un but :
« Je n’ai pas l’habitude de marquer ! Avec les autres qui viennent me sauter dessus ! »

-Plutôt Nike ou Adidas en chaussures ? :
« Adidas. » 

-Pile à l’heure ou toujours en retard ? :
« En avance même. »

-Plutôt leader ou discret ? :
« Pas leader ni discret, un peu entre les deux. »

-Ta plus grosse qualité :
« On va dire qu’en général je m’entends bien avec tout le monde. »

-Ton plus gros défaut :
« Rancunier. »

-Après le foot tu vas faire quoi ? :
« Rester dans le football je pense, éducateur surement. »

-La presse pour toi c’est… ? :
« C’est compliqué. La presse ne me gène pas mais je ne suis pas très à l’aise pour m’exprimer. »

-Sincèrement, c’était la meilleure interview de ta vie là ? :
« Ouais ! »

-Quand on dira « Fabien Tissot-Rosset » dans 20 ans, tu préférerais qu’on dise surtout : « c’était un sacré footballeur » ou « c’était vraiment un type bien » ? :
« Les deux ! »