Dans la tête de… Hamadi Ayari
À nouvelle année, nouvelle chronique. Chaque semaine, un joueur du Grenoble Foot 38 se livrera pour Métro-sports à un petit entretien d’une quinzaine de questions personnelles, toujours sur le ton de l’humour et du manque de sérieux. Cette semaine, c’est Hamadi Ayari qui a accepté de nous accorder 5 minutes après un entrainement bien rempli pour affronter notre questionnaire.
-Pourquoi footballeur ? : « Quand j’étais petit j’aimais bien jouer au foot. Et quand j’ai intégré le centre de formation je me suis dit que ça devenait possible et que je devais continuer. C’est venu comme ça. »
-Pourquoi milieu de terrain ? : J’aime bien courir et toucher des ballons, j’ai horreur de rester inactif, j’ai besoin d’avoir du contact avec le ballon. »
-Ce que tu maîtrises le plus : « La récupération de balle. »
-Ce que tu maîtrises le moins : « La finition devant le but, une catastrophe devant le gardien ! »
-Le plus beau geste technique : « Un bel enchainement de passes à la Barcelone durant les belles années. »
-La meilleure manière de fêter un but : « Je n’ai pas l’occasion de marquer souvent ! Mais sinon vers la famille ou les supporters. »
-Plutôt Nike ou Adidas en chaussures ? : « Nike en ce moment. Demain ce sera peut-être autre chose. »
-Pile à l’heure ou toujours en retard ? : « À l’heure, toujours. »
-Plutôt leader ou discret ? : « Entre les deux ! Pas trop pour ne pas me faire remarquer, mais pas trop discret non plus pour ne pas disparaitre. »
-Ta plus grosse qualité : « Je ne suis pas méchant ! »
-Ton plus gros défaut : « Quand quelque chose ne va pas ça me saoule vite. Un peu impatient. »
-Après le foot tu vas faire quoi ? : « Aucune idée ! Je ne pense pas être fait pour continuer une carrière dans le football. Surement un changement radical plutôt. »
-La presse pour toi c’est… ? : « Je ne regarde pas vraiment. Pas de soucis avec. »
-Sincèrement, c’était la meilleure interview de ta vie là ? : « Elle était pas mal du tout oui ! »
-Quand on dira « Hamadi Ayari » dans 20 ans, tu préférerais qu’on dise surtout : « c’était un sacré footballeur » ou « c’était vraiment un type bien » ? : « C’était un mec bien, évidement. »