Ligue 2 GF38 – Reims (1-1) : les réactions (09/04/2011)

Réactions d’Yvon Pouliquen, Hubert Fournier, Jody Viviani et Nicolas Dieuze après le match nul entre Grenoble et Reims.

Yvon Pouliquen (entraîneur GF38) : « L’égalisation de Reims n’est pas imméritée même si on regrette ce coup-franc. On a beaucoup trop subi à mon goût en deuxième mi-temps. On n’a pas sur ressortir, leur poser des problèmes. Finalement on prend un but au moment où on était le mieux dans cette seconde mi-temps… On a fait preuve de beaucoup de fébrilité sur le plan technique, avec beaucoup de déchet. On n’a pas réussi à se projeter vers l’avant, à offrir des solutions aux partenaires. A partir de là ça devient difficile de se créer des occasions. On n’a pas joué réellement en deuxième mi-temps et on est puni à trois minutes du terme. On a raté un petit virage, faudra aller faire un exploit à Ajaccio et d’autres ailleurs d’ici la fin du championnat. Dans le vestiaire, Pancho Abardonado disait aux joueurs « on ne lâche pas, on ne lâche pas » et que ça se jouera peut être lors de la dernière journée. »

Hubert Fournier (entraîneur Reims) : « Cela n’a pas été simple du fait de notre déchet technique tout au long du match. On a bien vu qu’on avait face à nous une équipe qui jouait sa survie. Je retiendrai notre état d’esprit : on n’a pas lâché. Cela nous servira pour la fin de saison. On a été moyen dans le jeu mais on s’est accroché et on a été récompensé à la fin. Il y avait sûrement la place de faire mieux mais cela reste un bon résultat malgré tout. »

Jody Viviani (gardien GF38) : « Une fois qu’on a mené au score on a essayé de ne pas trop se livrer car on savait qu’il avait un bon jeu de mouvements et de profondeur. On a plutôt su bien le faire sauf qu’on prend ce but après une faute à l’entrée des 18 mètres. Ça fait mal de perdre ces deux points. Il va falloir aller en chercher à l’extérieur. »

Nicolas Dieuze (milieu GF38) : « On a souffert en seconde mi-temps, pas réussi à avoir la maitrise nécessaire pour sortir. On subissait le jeu mais sans qu’ils se montrent spécialement dangereux c’est donc d’autant plus rageant de prendre un but sur coup de pied arrêté. Dans l’état d’esprit on confirme ce qu’on a fait à Metz, tout le monde a fait les efforts pour l’équipe. Cela n’a pas suffit pour l’emporter mais le championnat n’est pas terminé. »