Marc Chérèque (FCG) : « Nous sommes prêts à accepter que GF38 – Auxerre se dispute au Stade des Alpes »
Le président du FC Grenoble Rugby Marc Chérèque tenait une conférence de presse ce vendredi, en amot de FCG – Montpellier, au sujet de la cohabitation au Stade des Alpes avec le GF38 et des polémiques qui en ont récemment découlé. Après avoir rappelé le contexte et reprocher l’utilisation de « quelques faux arguments » par le club de football, le président Chérèque a souhaité « apaiser la situation » en permettant au GF38 de joueur face à Auxerre le samedi 31 octobre au Stade des Alpes en respectant certaines conditions.
Le FCG a fait parvenir l’intégralité du discours de Marc Chérèque, nous vous le relayons donc dans son intégralité ci-dessous. Nous reviendrons plus largement et plus subjectivement ce week-end sur les évènements récents, leurs conclusions et leurs conséquences sur le plus long terme.
Le discours de Marc Chérèque, bonne lecture :
LA SITUATION
Le GF38 a émis un premier communiqué le mercredi 7 octobre. Ce communiqué, dont l’objectif premier semble clairement de créer l’émotion, ironise sur la réactivité du FCG, sur sa grandeur d’âme, l’accuse de manque d’humilité et de comportement antisportif. Nous n’allons évidemment pas entretenir une polémique inutile en répondant directement à ça.
Nous vous avons lancé cette invitation mardi dernier pour faire le point sur la situation générale de la cohabitation des deux clubs au SDA, la situation exceptionnelle du week-end des 31 Octobre et 1er Novembre, mais aussi sur notre position pour les années à venir.
Mercredi le GF38 a émis un second communiqué signé de son Président. Même s’il contient à nos yeux des éléments contestables, il est beaucoup moins agressif et moralisateur que le précédent, et permet sans doute plus d’avancer.
HISTORIQUE ET SITUATION DES STADES
Je souhaite rappeler que le FCG a toujours pris ses responsabilités vis à vis de ses infrastructures sportives et commerciales. Dès le retour du Club en division professionnelle lors de la saison 2006-2007, il s’est inscrit dans une politique d’investissement partagé sur le site de Lesdiguières, avec le propriétaire des lieux (la Ville de Grenoble). Le montant des investissements cumulés pris en charge par le FCG sur ce site depuis cette époque (qu’ils soient – commerciaux : loges, ascenseur, rénovation des salons, création de nouveaux salons – sportifs : salle de musculation, centre d’entraînement, – ou administratifs : rénovation des bureaux) s’élèvent à environ 3,5M€. Avant que le Stade des Alpes ne soit livré, la cohabitation au Stade Lesdiguières s’est effectuée grâce à des mises en conformité pour le foot (grilles de séparation, grillages sur le tour de terrain) prises en charge par la Ville de Grenoble. La collaboration a été plutôt bonne pendant 6 ans.
Pendant presque 6 ans, le FCG a travaillé (et investi) sur un projet de rénovation lourde de Lesdiguières, pour l’amener progressivement aux standards des meilleurs stades du Top14, sur le modèle du stade Marcel Michelin à Clermont. Ce projet devait être mené en co-investissement avec la Ville, qui devait financer sa part à travers une opération immobilière menée sur la zone « tennis » aujourd’hui désaffectée. Au final chacune des deux parties aurait investi un peu plus de 10 M€ dans l’opération.
Le changement de municipalité a remis en cause ce projet. La Ville de Grenoble et la Metro ont privilégié l’utilisation partagée du Stade des Alpes entre le foot et le rugby. Nous n’avions pas d’autre solution que nous adapter à cette décision… sauf à financer entièrement le projet Lesdiguières avec de l’argent privé. Il serait tout de même paradoxal de se trouver dans une situation avec d’un côté un Stade d’agglomération dédié au foot entièrement financé par le public (à hauteur de 80M€ !), et un Stade dédié au Rugby entièrement financé par le privé.
Quelle qu’aurait été la décision, le FCG monté en Top14 devait de toutes façons s’installer au Stade des Alpes s’il souhaitait continuer à se développer, pendant au moins la durée des travaux à Lesdiguières.`
Face à cette situation, nous devions changer de stratégie pour l’avenir de nos infrastructures. Nous ne nous faisons pas d’illusions, l’état des finances des collectivités ne permettra pas une relance du projet Lesdiguières avec une participation publique. Par ailleurs notre position en Top14 ne peut pas à l’heure actuelle se pérenniser ailleurs qu’au Stade des Alpes : en 2014-2015, nous avons réuni la 5ème affluence du Top14 avec 15000 spectateurs de moyenne, et pas une seule des 13 affluences que nous avons faites ne serait entrée à Lesdiguières.
Nous avons donc décidé de retirer le permis de construire du projet de passer en perte les 300 k€ d’études préalables que nous avions financées pour le projet Lesdiguières, et nous nous sommes inscrits dans une autre stratégie :
Nous avons donc décidé de retirer le permis de construire du projet de passer en perte les 300 k€ d’études préalables que nous avions financées pour le projet Lesdiguières, et nous nous sommes inscrits dans une autre stratégie :
Un partage durable et équitable du Stade des Alpes comme Stade de compétition pour les deux disciplines foot et rugby, quelque soit le niveau de compétition des deux disciplines.
Chacune des deux disciplines pouvant ensuite développer leurs activités hors jour de match (entraînement, centre de formation, unité du Club, …) sur un autre site, a priori Lesdiguières pour le rugby et la Poterne pour le foot.
Dès notre installation au Stade des Alpes, nous avons engagé les dépenses nécessaires à combler les quelques insuffisances de la structure pour y accueillir dans les meilleures conditions possibles nos partenaires et nos supporters : construction d’une Halle Hospitalité en bordure du Stade, installation de panneaux LEDs sur la totalité du tour de terrain (en plus de la ligne LNR face TV), relifting des loges (peinture, mobilier), et cette saison restructuration de la bodega pour y optimiser l’accueil du public. Nous avons également mis en place un nombre important de panneaux publicitaires (panneaux ou bâches), mis en place par le FCG lorsque qu’il joue et qu’il retire ensuite pour laisser un « clean stadium » aux autres utilisateurs. C’est cet aspect qui nécessite le plus de temps et de ressources pour préparer les matchs, et il est entièrement pris en charge par le FCG, en bonne collaboration avec le délégataire.
« LE GF38 DOIT POUVOIR COMPTER SUR UN ACCORD ÉQUITABLE ET DURABLE »
Cela tombe bien, c’est exactement ce que nous disons ci-dessus. Le FCG est clairement, sans ambigüité, dans cette perspective.
Nous sommes satisfaits de le lire dans le communiqué du président du GF38, parce que cela n’a pas toujours été le cas. La saison dernière, nous avons rencontré le président de la SASP GF38 (qui a changé depuis) et son conseiller (tous deux investisseurs dans le GF38). Nous leur avons exposé la stratégie présentée ci-dessus, ils nous ont écouté poliment, sans remettre en cause cette stratégie. Moins de deux semaine plus tard, le président déclarait dans la presse locale qu’un accord existait pour qu’à partir du niveau Ligue 2, le GF38 aurait la jouissance exclusive du Stade des Alpes. Vous comprendrez que nous ayons eu des doutes sur la volonté d’un accord durable.
Un autre aspect évoqué pour le partage est l’équité.
Nous avons été un peu agacés par la présentation faite dernièrement par certains acteurs du foot (encouragée par le premier communiqué du GF38), qui est celle du méchant club professionnel (et donc riche) de rugby voulant empêcher le petit club amateur (et donc pauvre) de foot de disposer comme il l’entendait de « SON » Stade, ne lui offrant aucune solution de repli au sein de l’agglomération.
Tout d’abord, je voudrais rappeler que le GF38 est un club structuré en SASP (« P » comme « professionnelle »), qu’il rémunère ses joueurs, qu’il a probablement un des plus gros budgets de CFA (voire même de Nationale), alimenté par les investisseurs qui sont venus au secours de ce Club il y a deux ou trois ans.
Une grande partie du problème est que ces investisseurs sont arrivés à Grenoble avec un affichage assez clair : ils ne veulent pas payer pour le Stade, en tous cas pas au niveau de ce que cela coûte. Personne ne demande à aucun des deux Clubs de prendre en charge l’amortissement de l’investissement de ce Stade, mais nous ne trouvons pas anormal que chacun des deux Clubs – tous deux professionnels – assume la charge de fonctionnement qu’il engendre.
Le loyer que le GF38 verse actuellement au délégataire du Stade des Alpes (50 k€ pour la saison), couvre environ ¼ des charges de fonctionnement qu’il engendre lorsqu’il y joue. Il faut bien que quelqu’un paye la différence : la collectivité, les autres utilisateurs.
A notre connaissance, le GF38 est le seul acteur utilisant en permanence des mètres carrés au RDC du Stade qui ne les paie pas au prix du marché. Les autres occupants (Star People, le Restaurant, Max Aventure, la Boutique du FCG) paient un loyer au prix du marché (40k€ annuels pour le FCG pour 250m2).
Le FCG a accepté de payer pour ses matchs utilisant la totalité de l’équipement un loyer conséquent (70k€ par rencontre les premières années lorsque nous n’y jouions que quelques matchs, et 50 k€ par rencontre actuellement), qui couvre plus que la charge de fonctionnement engendrée. Avec les charges du Village Partenaires (environ 300k€), la boutique, c’est plus de 1M€ que nous déboursons. Lorsque nous recevons le RCT qui ne paie quasiment pas son Stade et qui reçoit par ailleurs le maximum légal des aides publiques autorisées, c’est un désavantage concurrentiel pour le FCG qui correspond à 3 ou 4 joueurs de très haut niveau.
Pour nous les conditions du partage équitable ne sont donc pas réunies à ce jour, et c’est un des éléments essentiels des discussions que nous devons avoir.
CE QUI S’EST PASSÉ EN DÉBUT DE SAISON ET POUR CE MATCH DU 31/10
Depuis deux saisons, nous signons en début de saison avec le délégataire du Stade une convention d’occupation. Pour l’instant, elle ne porte que sur la saison en cours.
Cette convention stipule (et le GF38 ne l’ignore pas) que « Le FCG bénéficie de « une priorité d’utilisation uniquement sur tous les autres évènements sportifs », et « aucune manifestation sportive d’un club utilisateur ne pourra avoir lieu durant le même week-end avant la manifestation sportive du FCG ».
En début de saison, selon l’ordre d’élaboration des calendriers, nous nous efforçons d’agir avec nos instances respectives pour éviter les doublons. Lorsque les calendriers sont sortis, nous avons repéré deux week-ends à risque : celui du 31/10/2015 (FCG-RCT) et celui du 5/03/2016 (FCG-ASM). Le GF38 connaissait cette situation depuis le début de la saison.
Pour le match FCG-RCT, avant que le diffuseur ne choisisse ses affiches, nous avons fait savoir à la LNR que nous préférions jouer le samedi, permettant ainsi au GF38 de jouer le dimanche, mais Canal+ a finalement décidé que FCG-RCT serait l’affiche Premium du dimanche, à peu près un mois avant l’événement. Nous avons alors demandé l’application de la convention, pour les raisons suivantes :
Pour une affiche de cette importance, le FCG emploiera le jour du match plus de 400 personnes. Outre le fait qu’une telle organisation ne se met pas en place en quelques heures, le fait de jouer un jour férié va générer un surcoût important. Nous ne souhaitions pas supporter une charge supplémentaire pour accélérer la mise en place.
Le travail logistique qui prend le plus de temps est la mise en place des panneaux et bâches partenaires (une jour née de travail) et la préparation des salons et loges. L’accélérer nécessiterait plus de moyens et donc augmenterait encore le coût.
Le dernier entraînement s’effectue toujours la veille de la rencontre au Stade des Alpes, en fin de matinée.
Le règlement LNR stipule (art. 391) que « pour les rencontres de 1ère et de 2ème division diffusées en direct, la présence de lignes ou spectres de lignes différentes de celles du jeu de Rugby à XV est interdite ». Nous avons dans le passé déjà subi des remarques à ce sujet, aucune solution satisfaisante ne nous été proposée, et nous ne souhaitons pas nous exposer à une pénalité.
On nous dit : « techniquement c’est faisable, la preuve cela a été fait l’an dernier pour le match de Coupe contre l’OM alors que le FCG avait joué la veille ».
C’est vrai, cela a été fait. Mais le soir de FCG-USO, avant GF38-OM, le personnel du FCG a travaillé – avec le délégataire et Keneo le prestataire de la Coupe de France – jusque très tard, renforcé par du personnel temporaire payé par le FCG, pour remettre le stade dans un état permettant sans problème le déroulement du match du lendemain.
Techniquement, tout est faisable. Tout dépend des moyens que l’on y met, mais aussi de comment ces moyens sont pris en charge. Sans la remettre en cause, la présence d’un Club utilisateur avant ou après les rencontres du Club résident génère pour ce dernier des charges supplémentaires pour effectuer des travaux qu’il aurait pu faire en plus de temps et avec moins d’intervenants sans cette présence. Ce qui selon nous doit intervenir dans les conditions du partage équitable.
La direction du GF38 a profité de ces circonstances exceptionnelles pour créer une émotion et un débat qui n’auraient pas dû prendre cette ampleur. La programmation de l’affiche Canal+ Premium du Top14 le dimanche après-midi est une chose récente, nous pensions pouvoir y échapper lors de nos confrontations sur les deux week-ends à risque, et nous venons en fait d’y être programmés à deux reprises (RCT et SF). C’est un honneur pour nous, mais cela nous oblige à trouver des solutions pérennes de reconfiguration plus rapide du Stade, et de discuter avec tous les acteurs de la prise en charge de ces solutions.
QUELQUES FAUX ARGUMENTS
Avant de proposer une solution, nous souhaitons évacuer quelques arguments entendus ou lus ces derniers temps :
« Le GF38 ne peut pas jouer à Lesdiguières (même pas une fois) »
Rien n’obligeait le GF38 sur cette rencontre d’aller jouer en dehors de Grenoble. Le prétexte avancé ne tient pas. On ne peut pas écrire dans le même communiqué qu’on est prêt à renoncer au « Clean Stadium » au Stade des Alpes (donc accepter de jouer dans un Stade aux couleurs du FCG et de ses partenaires), et refuser de jouer à Lesdiguières parce qu’il n’est pas « clean ».
Nous reconnaissons que Lesdiguières est très marqué FCG, nous entamons un travail de nettoyage d’une grande partie des panneaux publicitaires, mais nous n’éliminerons pas totalement l’affichage FCG dans un site qui est celui de sa vie quotidienne. Là aussi il faudra trouver des solutions faciles à mettre en oeuvre pour que ce Stade puisse servir de repli dans des situations exceptionnelles.
La Ville de Grenoble a réobtenu en septembre dernier une homologation de Lesdiguières pour le foot jusqu’au niveau National, la pelouse est en excellent état, donc à nouveau aucune raison d’aller jouer plus loin.
« A partir de la Ligue 2, la cohabitation est interdite par la LFP »
Ceci est une légende. L’article 118 des règlements de la LFP dit ceci :
« Les clubs doivent certifier qu’ils auront la jouissance des stades qu’ils utilisent à toutes les dates prévues et à prévoir au calendrier de l’épreuve. Ils doivent ainsi bénéficier d’un accès suffisant aux installations leur permettant d’organiser leurs rencontres dans les meilleures conditions, cette disponibilité pouvant aller de J-2 (7h du matin) à J+2 en fonction des besoins et/ou souhaits des clubs. Le déroulement du calendrier ne peut être modifié pour la non-disposition du stade. »
Rien dans cet article n’interdit un partage de Stade (l’article parle d’ailleurs « des stades »). Pour la préparation des matchs, de deux choses l’une :
Ou bien « accès suffisant » veut dire « accès exclusif » et alors pourquoi refuser au rugby ce qu’on exige pour le foot ?
Ou bien cela ne veut pas dire cela, et on ne peut l’utiliser pour prétexter une interdiction de partage.
En tous cas on ne peut pas, comme certains l’ont fait ces derniers jours, dire les deux choses à la fois.
NOTRE POSITION POUR LE WEEK-END DES 31/10 ET 1/11
Pour apaiser la situation, nous sommes prêts à renoncer aux dispositions citées plus haut de la convention qui nous lient avec le délégataire, et accepter que le GF38 dispute son match contra l’AJ Auxerre le 31/10 à 15 heures au Stade des Alpes, si les conditions suivantes sont satisfaites :
Pour ne pas faire face à des coûts supplémentaires, le travail de panneautage et d’habillage du stade, de prépa ration de tous les espaces non utilisés par le GF38 sera fait plus tôt dans la semaine, pour être terminé le samedi en fin de matinée. Cela veut dire que le GF38 renonce au « Clean Stadium », contrainte qu’il avait accepté de lever.
Le personnel logistique du FCG réinterviendra après la rencontre de foot pour reconfigurer les espaces (loges et salons) qui auront été utilisés pas le GF38, après qu’ils soient débarrassés et nettoyés. Ceci devra être possible dès 18 heures.
Le GF38 s’engage à prendre en charge les conséquences d’éventuels dommages apportés à la préparation effec tuée avant le match ou aux éléments propriété du FCG.
Le dernier entraînement du FCG se déroulera au Stade des Alpes la samedi 31/10 à partir de 11 heures, en traçage foot mais poteaux de rugby pour les buteurs. Le terrain sera libéré à 12h30.
La direction du GF38 émet envers ses partenaires et ses supporters un discours non ambigu sur sa volonté de partager ce Stade dans la durée avec le FCG, et de tout mettre en oeuvre pour que ce partage se fasse dans les conditions les plus équitables, pour que les projets des deux Clubs réussissent.
NOTRE POSITION POUR L’AVENIR
Nous n’avons pas le choix, nous devons nous entendre. Ce Stade appartient à la collectivité, cette dernière nous impose de le partager, cela ne sert à rien de tirer des plans sur la comète pour d’autres solutions. Si le GF38 monte en National (et nous lui souhaitons), nous risquons d’être dès la saison prochaine confrontés à d’autres situations de ce genre. Pour les résoudre, il faudra avoir anticipé :
Intervenir en présaison auprès de nos organismes de tutelle pour réduire au minimum le nombre de doublons dans les calendriers.
Rendre effectif le travail que nous avons entamé avec la collectivité et le délégataire pour mettre en place une sur face de jeu permettant une utilisation intensive, y compris au cours du même week-end, y compris conditions hivernales. La solution étudiée est celle d’une pelouse naturelle renforcée et chauffée.
Trouver des solutions satisfaisantes pour éliminer les spectres de lignes d’une discipline à l’autre.
Mettre en place une structure logistique capable de reconfigurer rapidement le Stade dans un sens ou dans l’autre. La prise en charge des coûts de cette structure devra être équitablement répartie, en prenant en compte
les différences de coûts importantes déjà supportées par les deux structures.
Nous sommes disposés à avancer sur ces différents sujets dès maintenant, avec l’objectif de mettre en place un accord de longue durée, prévoyant si possible tous les cas de figure.
MARC CHÉRÈQUE, PRÉSIDENT DE LA SASP FC GRENOBLE RUGBY