Thomas Nicolas (FC Echirolles) : « Performer et prendre du plaisir »
L’ancien joueur de l’ES Manival et de l’AC Seyssinet Thomas Nicole (à gauche sur la photo, ici en compagnie de l’autre rectrue Quentin Verlaine) a rejoint le FC Echirolles (Régional 1) cet hiver. L’attaquant, qui retrouve petit à petit le rythme de la compétition après une longue blessure, espère s’y relancer et contribuer à l’objectif de la formation de Stéphane Garcia et Sébastien Navas.
Fini les galères. 2020 s’annonce sous les meilleurs auspices pour Thomas Nicole après deux dernières années civiles gâchées par des blessures qu’il espère désormais définitivement derrière lui. « Effectivement jai été longtemps blessé. Je me suis fait opérer des ligaments croisés en avril 2018, quand j’étais à l’ES Manival. J’ai signé à l’AC Seyssinet une fois ma rééducation terminée mais j’ai connu quelques pépins, toujours sur le même genou, à la reprise avec notamment une rechute du ménisque. Cela m’a fait faire une année blanche, j’ai repris en août 2019. Depuis j’ai enchaîné sans aucun autre problème physique les entraînements et matchs jusqu’à maintenant. J’ai retrouvé ma forme et je travaille encore beaucoup pour être à 200 %. »
Et c’est désormais sous le maillot d’Echirolles que l’attaque se fixe de nouveaux défis. Un club qu’il a rejoint cet hiver « pour le niveau Régional 1, mais aussi pour tout ce qu’il représente dans la région. C’est un club phare. Mais aussi un club où il y a mon cousin Joris Goncalves et mon oncle Patrick Nicole qui est dirigeant. »
Un contexte familial dans un club familial qui devrait permettre à Thomas de s’épanouir pleinement. Le joueur nourrit en tout cas de belles ambitions. « Déjà performer et prendre du plaisir, en essayant d’amener un plus à cette équipe offensivement, notamment en marquant. Et au niveau du classement l’objectif sera de se repositionner dans ce championnat le plus rapidement possible. »
Echirolles, qui a souvent séduit dans le jeu mais en manquant d’efficacité, s’est en tout cas doté d’une nouvelle arme
Crédit photo : Carmelo Di Benedetto