Badminton : bilan positif pour les Grenoblois aux internationaux de France

Les quatre joueurs du GUC Badminton, ayant participé aux Super Series de Paris en auront ramené quelques satisfactions avec deux huitièmes de finales disputés. Sans compter, pour les trois juniors, une expérience indispensable à engranger au niveau international.

Les quatre joueurs du GUC Badminton, ayant participé aux Super Series de Paris en auront ramené quelques satisfactions avec deux huitièmes de finales disputés. Sans compter, pour les trois juniors, une expérience indispensable à engranger au niveau international.
Marin Baumann s’incline en qualifications du simple hommes face à Alexandre Françoise, vice champion de France 2009, à l’issue d’un match très accroché (21-23, 17- 21), puis dans le tableau du double hommes, en seizièmes de finales face aux malaisiens Goh et Teo, n°37 mondiaux. Sa soeur cadette, Lorraine, s’incline en qualifications du double mixte face à deux anciens gucistes, Sébastien Bourbon et Julie Delaune (14-21, 18-21), puis plus sèchement
dans le tableau de double dames, en seizièmes de finales face aux danoises Helsbol—Skelbaek, n° 29 mondiales.
Wojciech Szudlarczyk affrontait en seizièmes de finales la paire thaïlandaise Anugritayawon— Voravichitchaikul, classée n°12 mondiale, match conclu par une défaite alors qu’en double hommes, il atteint les huitièmes de finales avec une défaite en trois sets face aux récents finalistes de l’Open du Viet-Nam, les malaisiens, Fairizizuan—Ong.
En simple dames, Léa Palermo avait un objectif : sortir du tableau de qualifications et se qualifier pour la première fois de sa jeune carrière, à 17 ans, pour le tableau principal d’un Super Series. Objectif atteint face à la française Audrey Chaillou, puis à l’issue d’un
match-thriller (30-28,22-20), face à la strasbourgeoise d’origine malaisienne, Teshana Vignes (n° 209 mondiale). Le seizième de finale, jouée face à la chinoise Xuerui Li, n°22 mondiale, lui a montré tout le chemin restant à parcourir pour atteindre le plus haut niveau (13-21,4-21). Second huitième de finales guciste, celui du double dames où, associée à Audrey Fontaine, Léa s’incline honorablement face à la paire tête de série n°1 et n°9 mondiale, composée de la russe Russkikh et de la bulgare Nedelcheva.
Un cinquième guciste était présent aux Internationaux de France, Lionel Faure, arbitre national, qui a officié en tant que juge de ligne et lui aussi, tâté du haut niveau international, mais côté arbitrage.

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