GF38 – Dans la tête de… Malik Rouag

À nouvelle année, nouvelle chronique. Chaque semaine, un joueur du Grenoble Foot 38 se livrera pour Métro-Sports à un petit entretien d’une quinzaine de questions personnelles, toujours sur le ton de l’humour et du manque de sérieux. C’est au tour d’un attaquant de se livrer. Cette semaine, place à l’ancien parisien, Malik Rouag.

Pourquoi footballeur ? : « Parce que j’aime bien jouer au foot ! Quand tu es petit au début tu joues juste pour le plaisir et ensuite je suis parti à Paris, on m’a proposé des contrats et c’est venu naturellement. C’est vraiment quand tu signes ton premier contrat que tu te dis que ça peut devenir possible. »

Pourquoi à ce poste ? : « Attaquant, parce que j’aime marquer des buts et faire des passes décisives. »

Ce que tu maîtrises le plus : « Il n’y a pas beaucoup de choses ! On va dire devant le gardien en face-à-face. »

Ce que tu maîtrises le moins : « Mes nerfs ! Je suis impulsif ! »

Le plus beau geste technique : « Une belle bicyclette, sur un centre un beau retourné acrobatique. »

La meilleure manière de fêter un but : « Un petit signe pour ma femme. »

Plutôt Nike ou Adidas en chaussures ? : « Je joue en Nike parce qu’on me les a donné ! Mais sinon je préfère Adidas. »

Pile à l’heure ou toujours en retard ? : « Toujours à l’heure. »

Plutôt leader ou discret ? : « Comique ! Je suis quelqu’un qui aime bien rigoler. »

Ta plus grosse qualité : « Généreux. »

Ton plus gros défaut : « Comme je t’ai dis je m’énerve vite et beaucoup, je suis vraiment impulsif. »

Après le foot tu vas faire quoi ? : « Aucune idée. Plus vers un changement radical. »

La presse pour toi c’est… ? : « C’est un boulot comme un autre, des fois ils disent des choses blessantes mais c’est souvent la vérité. Ça fait un peu mal. Mais c’est aussi agréable de lire un bel article sur soi. »

Sincèrement, c’était la meilleure interview de ta vie là ? : « Excellent ! »

Quand on dira « Malik Rouag » dans 20 ans, tu préférerais qu’on dise surtout : « c’était un sacré footballeur » ou « c’était vraiment un type bien » ? : « Franchement, c’était un mec bien. »