Maiwenn Terrien Ferrey remporte la tête de rivière de Belley en skiff junior fille
Un peu plus de deux mois après les championnats du Monde à Aiguebelette, les rameurs français se retrouvaient ce week end pour des têtes de rivière afin d’évaluer leur niveau en ce début de saison.
Pour les Grenoblois, l’essentiel se déroulait à Belley, dans l’ain avec une confrontation avec les rameurs du pôle de Lyon et des clubs régionaux.
Chez les juniors, Maiwenn Terrien Ferey l’emporte devant l’annécienne Fanny Puybaraud alors que Charlotte Charbon et Juliette Baron prennent respectivement la 9° et 21° place dans une course à 45 partantes.
Chez les hommes, Damien Moscatello a du se contenter de la 3° place et ses camarades de club des 32° et 54° places sur 73 partants.
Chez les seniors nous retrouvions nos deux vice champions du onde d’Aiguebelette en huit poids légers aux 6° et 9° place d’une course très relevée avec un Jérémie Azou dominateur et des médaillés mondiaux comme si il en pleuvait dans les 13 premiers.
Derrière on notera un tir groupé avec 5 rameurs et notamment nos meilleurs rameurs moins de 23 ans entre la 27 et la 37 place, un peu loin au chrono mais plutôt bien placé parmi les concurrents de leur catégorie d’âge.
Pierre D’Agata participait lui en deux sans barreur avec Camille Tollet de Lyon Caluire, l’occasion était bonne de se comparer aux deux meilleurs paires poids légers françaises. Longtemps dans la course, ils ont du lever le pied en fin de parcours gêné par un bateau de sécurité qui suivait les premiers en trainant des vagues pour tous les concurrents suivants.
Chez les filles Imola Pialla prend la 6° place et Margaux Segrais la 8°, assez proches de la tête de course mais dans une compétition où les meilleurs françaises se retrouvaient à Caen.
Deux grenobloises participaient au contre la montre de Caen, Noémie Kober prend la 2° place derrière la rameuse de l’Encouragement Hélène Lefèbvre et Laura Tarantola termine 6°, mais première dans sa catégorie poids légers.
Edouard Jonville devra attendre le 11 novembre pour pouvoir s’exprimer sur l’eau à Toul contre les meilleurs français en pointe toutes catégories dans un contexte un peu particulier la fédération ayant abandonné son projet de huit aux Jeux Olympiques et avec seulement un deux sans barreur déjà qualifié.
Le contrôle d’entraînement prendra là une importance toute particulière.