Stade des Alpes : la Métro répond au président du GF38

Stade des Alpes : la Métro répond au président du GF38

logo_metrofootDans une « rencontre avec les lecteurs » organisée par nos confrères du Dauphiné Libéré cette semaine, César Puente Rodriguez, le président du Grenoble Foot 38, avait abordé la question de l’utilisation du Stade des Alpes. Il avait ainsi répondu à une question « Si on monte en Ligue 2, ils auront quatre ou cinq mois pour démarrer les travaux de Lesdiguières. Si on a le bonheur d’être en Ligue 2, le Stade des Alpes reviendra au GF38. » (>> l’article complet est à retrouver sur le site du DL). Des propos qui ont fait réagir la Métro et Claus Habfast (vice-président aux équipements communautaires) qui se sont exprimés via le communiqué de presse suivant (>> source le Dauphiné Libéré) :

« Depuis cette saison sportive, le Stade des Alpes accueille les rencontres des clubs grenoblois de rugby FCG (Top 14) et de football GF38 (CFA). Aujourd’hui, les négociations sont en cours entre le délégataire Carilis et ces deux clubs pour la saison 2015-2016, avec comme principe le partage du stade des Alpes. Contrairement à ce qu’a pu indiquer le Président du GF 38, il n’existe pas d’accord selon lequel le stade serait exclusivement consacré au football dans l’hypothèse où ce club remonterait en Ligue 2. En tant que délégant, la Métropole est très attachée à cette co-existence des deux clubs dans le Stade des Alpes. Cette situation innovante mise en place pour la saison qui se termine, a fait de 2014-2015 une saison test. Depuis plusieurs semaines, les différents acteurs se rencontrent pour tirer le bilan de cette saison et aboutir sur un accord pour la saison prochaine. Ces négociations entre Carilis et les deux clubs, FCG-Rugby et le GF 38 doivent aboutir prochainement. En parallèle, un modèle de gestion pour le plus long terme est en cours d’élaboration. Il doit permettre au Stade des Alpes d’affirmer sa vocation sportive, tout en maîtrisant la subvention versée par la Métropole pour son fonctionnement. Les loyers payés par les deux clubs sont une composante essentielle de ce modèle économique, autant que le souhait d’animer le Stade avec une multitude de rencontres sportives, professionnelles et amateurs.«